[Eh bien ...] ► Nom : Naho ► Prénom : Eri ► Surnom : Hum... vous arrivez à trouver un diminutif d'Eri? pas moi... Mais il arrive que l'on m'appelle little girl ou chibi à cause de ma taille... Ou il arrive que l'on se trompe dans mon prénom et rajoute un i, ce qui donne "Eiri". (Chose faite sur l'avatar, tiens.) ► Âge : Je suis sûre que vous ne me croirez pas, mais bon. J'ai actuellement seize ans, mais je fonce vers mes dix sept qui arriveront un dix huit février... ► Sexe : Je suis une fille~ Cela se voit tout de même, non? ► Orientation sexuelle : Inconnue pour le moment ♥. ► Guilde/Groupe : Chi no Hana. ► Rang : (A remplir par les admins) ► Arme : Une fine épée assez tranchante, avec un manche en bois me suit partout, accompagnée de son fourreau que je tiens soit à la main, ou qui est parfois accroché à ma taille mais ce n'est pas facile de se déplacer ainsi. Il m'arrive très souvent de le perdre. ► Votre magie et sa description : Magie magie... On peut dire que j'utilise l'électrique. Pas pour attaquer, je n'arrive pas à en faire tout ce que je veux... Tout ce que je fais actuellement est d'utiliser des décharges au niveau de mes pieds pour augmenter ma vitesse. Et on peut dire que je suis très rapide, ce qui me permet d'esquiver la plupart des coups, ou de parer ceux des autres avec ma jolie petite épée~ ► Thème musical : (facultatif)

► ah, vous voulez donc savoir à quoi je ressemble. Comme je l'ai déjà dit, j'ai le corps d'une petite fille de douze ans (explication dans l'histoire). Qui dit corps, dit aussi taille. Je mesure environ un mètre quarante deux et suis plutôt fine, enfin, de corpulence moyenne. Ni grosse ni trop maigre. Une personne normale, si l'on peut dire. Donc mon poids et cette taille me permettent de me déplacer plus rapidement. Je possède des cheveux coupés en carré qui m'arrivent au niveau de la fin de mon visage et qui sont violets. Mais autour de mon visage, ceux-ci sont coupés en dégradé. Une mèche un peu plus grande que les autres retombent entre mes deux yeux. Ceux-ci, quant à eux, sont plutôt de couleur émeraude. Un bleu-vert qui semble briller, comme un joyau, surtout quand les larmes en tombent... Ma peau est assez claire, mais pas blanche, plutôt un peu rosée, sauf mes jambes qui voient rarement la couleur du soleil. On peut dire que je peux m'habiller de façon diverses et variées, tant que ce sont des vêtements d'enfants. Je n'ai pas encore vu des vêtements d'adultes sur une fille de moins d'un mètre cinquante, encore moins si elle parait avoir 12 ans... Enfin, je porte principalement des petites robes. Ou plutôt devrais dire grande. La plupart du temps, elles m'arrivent en dessous des genoux. Il m'arrive parfois de mettre des chapeaux... Je trouve ça marrant. Enfin, à voir. Des chapeaux violets, principalement foncé. En fait je dis "des", mais je n'en ai qu'un. Il s'agit d'un chapeau de sorcière... Il parait que ça me va bien...

[ Comme il risque d'être demandé (voir histoire pour plus d'explications), voici à quoi je ressemblais. J'avais de longs cheveux blond clair qui m'arrivaient au niveau des fesses, voir plus bas, avec des mèches presque noires. Il m'arrivait souvent de les attacher, que ce soit en queue de cheval ou chignon. On aimait bien me le faire... J'avais aussi un œil dont la couleur sortait de l'ordinaire... On pouvait dire qu'il était rouge, la plupart du temps. Mais selon la luminosité, il pouvait devenir orange quand il faisait sombre. A l'inverse, il avait tendance à être d'un beau rouge vif quand je me situais dans un endroit éclairé. Ma peau était d'un beau dorée, et mon épée me suivant déjà partout, mais elle semblait plus grande et plus "neuve". Plus brillante, dorée, pas fissurée comme elle l'est actuellement. Vu que je le suis encore, j'étais plutôt fine mais de taille moyenne, peut être même que j'aurais été plus grande que je le suis actuellement. ]




► Calme. C’est ainsi qu’elle se montre pour la plupart des personnes qu’elle ne connait pas. Ils se disent, souvent, qu’elle n’a pas l’air d’éprouver de sentiments. Il arrive très rarement qu’elle donne son avis à des personnes qu’elle ne connait pas, tant que cela n’implique pas sa guilde. Sinon, ça reste « je te connais pas, tu n’as pas besoin de me parler ». Ces personnes inconnues aux yeux d’Eri ont souvent des doutes sur son âge. Est-elle vraiment si jeune qu’elle e parait ? Après tout, à douze ans, on n’est encore qu’un gamin ou une gamine aux yeux des adultes. Qu’elle soit calme ou non… Elle n’est pas du genre à mâcher ses mots et dit ce qu’elle pense quand elle en a envie. On peut donc dire qu’elle est franche… Mais seulement quand elle le veut. Il peut lui arriver de mentir dans son intérêt et celui de sa guilde, ou simplement de mentir pour rigoler. On appelle cela l’ironie, non ?

Cocote minute. Eri n’est pas non plus une personne calme à 100%. Comme tout le monde, il y a des moments où l’on s’énerve. Il lui arrive très souvent de se mettre à crier d’un seul coup pour faire exploser sa colère, et ensuite reprendre son calme. Ce n’est pas en s’énervant que l’on arrange les choses. C’est ce que Francis lui a appris. En combat, il lui arrive très rarement de s’énerver. Elle préfère y aller doucement et calmement, sinon elle n’arrive plus à réfléchir et être au maximum de ses capacités, se concentrant plus sur les attaques alors qu’elle n’est pas très douée de ce côté-là. Mais avant d’exploser, elle encaisse plutôt pas mal de choses. Et parfois ses cris ne suffisent pas à la calmer et elle ne devient pas dangereuse, mais plutôt vulnérable. Pour certains, l’énervement est une force, pour d’autres, une faiblesse.

Responsable. La petite fille prend les taches qu’on lui donne très à cœur, et fera de son mieux. Mais si jamais il arrivait qu’une personne de sa guilde fasse quelque chose qui n’était pas prévu, elle irait protéger celle-ci. Après tout, dans une guilde, quand on connait bien les personnes y vivant, on les considère comme notre famille. Mais on ne peut pas apprécier tout le monde non plus… Et peu importe si elle l’apprécie ou non, elle mettra ça de côté pour le ou la défendre. C’est ainsi qu’elle procède…

Respectueuse. Eh oui, le respect. Toute personne mérite d’avoir le choix de ses actes. Eri n’ira jamais contre vos choix personnels. Si vous voulez quitter la guilde, faites-le. Mais sachez que cela ne se fera pas sans « problèmes ». Passer faire un coucou de temps en temps peut être appréciable. Enfin, tout ça pour dire qu’elle veut que ses choix à elle soient respectés et que si vous le faites, elle acceptera les vôtres. Bien sûr, cela marche dans l’autre sens.

Attentive/Inattentive. Selon son humeur, Eri est plus ou moins attentive. En effet, il lui arrive régulièrement d’être dans la lune, de réfléchir. Elle cherche un endroit à l’écart où elle peut être seule et observe le ciel, les nuages, cherchant des réponses à ses questions. Malgré son âge, elle reste tout de même une enfant dans sa tête (par moments surtout), et cherche quand elle pourra retrouver ses parents. Et des réponses à d’autres questions. Peut être trop. Eri est donc une petite fille très rêveuse. Parfois, elle pense à des mondes qu’elle s’imagine. Dans ces cas-là, il vaut mieux ne pas la déranger. Vous pourriez le regretter… faire peur à la petite Eri~

Sensible. Si elle ne vous connait pas, Eri ne montrera jamais ce côté d’elle. Alors que quand elle connait mieux la personne… Si celle-ci la rend triste, elle pleure. Si elle est heureuse, elle rie. En colère, elle crie. Elle ne montre ses sentiments qu’à ses personnes là. Mais elle est aussi très déterminée. Ses sentiments peuvent jouer un rôle si une personne qu’elle connait bien est en mauvaise posture. Elle fera tout pour l’aider… Même si elle pleure, vu sa vitesse, il lui arrive de ne pas s’en rendre compte. Pleurer ne l’empêche pas d’être attentive à la personne en face. Pleurer n’est pas de la colère, cela ne joue pas sur ses mouvements, juste ses pensées. Elle ne se précipite pas, loin de là.

Joueuse. Eri sait aussi jouer avec les sentiments des autres. Vous n’aimez pas voir des enfants pleurer, je suppose. Elle veut souvent toucher la personne qui est en face sentimentalement, et fait donc exprès de pleurer. Mais pour cela, elle se concentre plutôt bien et se met parfois à dire des trucs qui n’ont aucun rapport, mélangeant ce à quoi elle pense à la situation. Cela est rare mais il lui arrive d’appeler l’un de ses pères sans vraiment y faire attention.




► Il y a de ça seize ans, comme tout être humain, je naissais sur cette Terre après les longs efforts de ma mère... D'ailleurs, elle avait une maladie qui faisait qu'elle avait une résistance physique faible. Elle tombait vite malade, et passait pas mal de temps à l’hôpital. En fait, le jour où je suis née fut le seul où je la vis. Je vous laisse imaginer pourquoi? Bah, c'est mon histoire, autant être précise. Une ou deux heures après, son corps était inerte, justement, à cause de cette faiblesse physique. Elle avait refusé d'avorter pour la simple et bonne raison qu'avoir une descendance était ce qu'elle pensait pouvoir donner de plus important à ce monde. Suite aux mots de ma mère, mon père ne put qu'accepter. Il me prit donc chez lui et nous vécurent ainsi...Un long moment. Enfin, long. Ce n'était que les cinq premières années de ma vie. La mort de ma mère l'avait trop touché. Il avait beau essayer, il n'arrivait pas à l'enlever de sa tête. Il m'amena donc dans un nouveau lieu, dans la forêt. Un endroit que l'on pourrait considérer en mauvais état. Ses mots furent :

« Eri... S'il te plait, ne m'en veux pas. Papa t'apprécie, mais il pense trop à ta maman... Je te laisse donc devant cette porte. S'il te plait, ne me suis pas... Frappe à cette porte, on t'ouvrira sûrement. Prends soin de toi, Eri... »

Dans sa voix, on sentait qu'il était triste et qu'il pensait ne pas avoir le choix. Il le regrettait beaucoup. Comme toute petite fille, je ne pus m'empêcher de pleurer en demandant à mon père de revenir. La dernière chose qu'il fit, j'eus du mal à la comprendre. De la lumière, violette. Voilà que mes cheveux blonds étaient devenus violets, que j'étais plus grande. Je ne savais pas ce qu'il m'arrivait et les derniers mots qu'il dit avant de partir pour de bon furent :

« Profite d'être ainsi, et deviens forte, Eri. Un jour, nous nous retrouverons...et ..... ..... ... tes dix sept ans... »

Il me manquait quelques mots. Je ne savais pas ce que c'était. Dix sept ans ? C'était censé signifier quoi? Je ne savais pas et ne voulais pas le savoir, me contentant de pleurer en pensant que c'était peut être la dernière fois que je le verrais... Mais je ne venais pas à lui non plus de peur qu'il m'en veuille... En fait, mon physique ne me dérangeait plus vraiment. Je voulais juste savoir où était mon père et être avec lui... Juste pouvoir former une famille avec lui... Je restais assise devant cette porte, jusqu'à ce que plusieurs personnes l’ouvrent en râlant. Et ils voyaient quoi ? Une simple petite fille « perdue » qui pleurait... Ils ne semblaient pas vraiment apprécier... Je me tournais donc vers eux, regardant les grandes personnes qui se trouvaient là. L'un deux s'approcha puis vint s'agenouiller devant moi avec un sourire rassurant.

« Petite... Dis nous quel est ton nom et ce que tu fais ici ? »

L'observant droit dans les yeux, je ne pouvais que lui répondre. J’étais tout de même un peu hésitante. Après tout, je ne le connaissais pas.

« Eri...Naho, je suis...papa a… »

Ne le quittant pas des yeux, il semblait réfléchir et avait un air étrange. Je ne savais pas trop quoi penser. Mais il avait l’air de savoir quelque chose…

« M-monsieur ! V-vous connaissez mon papa? Ma maman? Il est où mon papa? »

Les larmes continuaient de couler sur mes joues, avec tout de même une petite lueur d'espoir. Je vais revoir mon papa? Il connait peut être d'autres choses sur ma maman ? Les autres me regardaient en ricanant. Je ne voyais pas ce qu'il y avait de drôle, mais bon...

« Eri...viens avec moi s'il te plaît. Vous autres, je vous conseille de retourner à vos activités habituelles... »

Il m'attrapa alors la main et je me relevais, tandis qu'il me guida à l'intérieur de cet endroit qui n'était pas si abandonné qu'il le paraissait. C’était simple, mais plutôt joli. Les autres nous suivirent un instant. Il y avait pas mal de monde ici… Mais c’était propre. L’homme qui me guidait m’amena jusqu’à un escalier que l’on monta. Le bois de celui-ci grinçait et ce n’était pas très rassurant. En haut se trouvait une pièce assez grande, avec un bureau au milieu, et tout un tas de papiers, mais aussi un endroit un peu à part avec plusieurs fauteuils et une bibliothèque. C’est là qu’il m’amenait, il me fit alors signe de m’assoir, ce que je fis. Il fit de même et m’observait.

« Eri, dis moi. Tu as quel âge ? »

Je l’observais, un peu surprise, et réfléchissais. Je n’avais pas de raison de réfléchir, pourtant, je ne savais pas quoi répondre. J’étais là, et attendais. Mon âge…Mais c’est pourtant évident !

« J-j’ai 5 ans, monsieur… »

Il sourit alors. Un sourire pas très rassurant, je ne comprenais pas.

« Je connais ton père, Eri. N’en parle pas aux autres. A partir de maintenant, tu n’as pas cinq ans, mais douze ans. C’est compris ? Tu as douze ans. Si tu veux rester ici, c’est une des seules règles que je te donne. Je t’aiderai, je t’apprendrai le reste. Il y a tout de même une autre règle que tu vas devoir respecter. A partir de maintenant, considère moi comme ton père. Et si on te pose la question, ta maman t’a abandonnée devant la porte parce qu’elle n’allait pas bien. Si tu ne respectes pas ceci, je ne pourrai te garder dans ce lieu. C’est tout. J’espère pour toi que tu as compris ce que je t’ai dit… »

J’avais compris ce qu’il m’avait dit, mais pas pourquoi. Pourquoi ça ? Pourtant, je ne lui posai pas de question. Le reste qu’il voulait m’apprendre était la magie. Il disait que je resterai sûrement avec ce physique un bon moment. Il m’apprit sa magie. Mais seulement en partie. Et ce que j’ai oublié de préciser… Cette épée qui me suit partout, c’est mon papa qui me l’a donnée avant de partir. Sa magie consistait à utiliser l’électricité comme outil pour que je puisse augmenter ma vitesse. L’apprentissage était dur, mais je le voulais. Parce que je me disais qu’ainsi, je pourrai retrouver mon père plus facilement. Ben oui, si je deviens une bonne mage, il entendra forcément parler de moi et pourra me retrouver. Mais il ne m’apprit que cette chose là. Les autres personnes de ce que cet homme, Francis, appelait « guilde » n’utilisaient pas la magie. Ils se contentaient d’armes blanches. Ils savaient que Francis l’utilisait. Il connaissait des attaques électriques, aussi, je le savais. Pourtant, il ne me les enseignait pas. Depuis le jour où il m’avait protégée, mon caractère avait changé. Et il se servit de ceci quand j’eus complètement compris ce qu’il m’avait appris. Cela avait pris du temps, oui, mais il ne m’apprit pas que cela durant toutes ces années. Le respect, l’envie de vivre… Vivre sa vie… Ce genre de choses. Et puis, un matin, quand j’avais quinze ans. Je venais de me réveiller et me retrouvais dans la pièce principale. Tout le monde était déjà là, même Francis. Il me sourit, chose que je lui rendis en le voyant là. Sa voix brisa alors le silence qui était si rare dans cette guilde…

« Eri…approche donc. Il y a quelque chose d’important dont je dois te parler. »

Je m’approchai donc sans un mot, et il me prit tranquillement sur ses genoux, ce sourire toujours aux lèvres.

« Tu dois voler de tes propres ailes, petit oiseau. Tu as du potentiel. Beaucoup. Peut être même plus que moi. Je pense être un obstacle à ton apprentissage. Et puis, je ne peux pas non plus tout t’apprendre. Comprends-moi, s’il te plait. Tu es ma fille, après tout. Je vais partir pendant un moment. Je vais te surveiller de loin, tous tes mouvements, tes progrès. On se reverra, sois-en sûre. Pour t’aider à progresser, je te laisse la guilde. Prends soin des personnes qui y vivent. Tu en es responsable pendant mon absence. Mais, à mon retour, la place étant cédée, tu la garderas… »

Il m’enleva alors de ses genoux et s’éloigna, ce doux sourire toujours aux lèvres. Je n’osais rien dire, n’ayant qu’une envie : pleurer. Il vint passer sa main sur ma tête en la caressant gentiment, comme pour me rassurer..

« Les jolies filles ne devraient pas pleurer… A bientôt, tous. Faites attention à vous. »

En disant ces derniers mots, il quitta la pièce et donc, la guilde. Je me retenais de pleurer, pensant à ses mots. En fait, on peut dire que dans ma tête, je mélangeais un peu tout. Lequel des deux est mon papa ? Les deux, je crois. Qui est qui ? Dans tous les cas, je ne savais pas où était ma maman. Enfin. Il voulait que je m’améliore. Cela signifiait que si je devenais une bonne mage, je retrouverai mes deux papas ? En fait, peu importe le nombre. Je veux juste…avoir une famille. Sauf qu’en fait, j’en ai déjà une, mais... Les autres personnes de la guilde semblaient être au courant de ce qu’il allait se passer. Depuis tout ce temps, ils étaient gentils avec moi. Je m’efforçais de ne pas pleurer. Je ne dois pas… Je dois être forte, comme il l’a demandé.
Depuis ce jour, je suis ses mots. Je m’occupe de tout le monde ici. Ce qui signifie que je m’occupe aussi des entrées des personnes de la guilde… Souvent ils n’appréciaient pas le fait que Francis ait laissé une petite fille à la tête de cet endroit et tentaient de me faire la leçon. Ils finissaient blessés ou essoufflés à force de courir partout. Cela ne pouvait qu’augmenter leur endurance. Il m’arrivait de temps en temps de faire quelques quêtes, un peu comme tout le monde. Tour à tour, avec l’un de plus grands manieurs d’armes blanches de la guilde, on échangeait nos rôles. Un coup je partais et il restait, un coup c’était l’inverse. Jusqu’à maintenant. Je commence à trouver de nouveaux endroits où je peux utiliser ma magie. Même si c’est encore loin d’être parfait. L’électricité arrive à monter jusqu’à mes doigts pour finir au bout de l’épée, faisant un peu de lumière, mais pour le moment, c’est tout. Me voilà donc à mes seize ans actuels, attendant les dix sept ans dont parlait mon père…

Celui qui tape le clavier

► Prénom/Pseudo : Eri ^w^
► Âge : 17 ans
► Présence : 7/7
► Comment as-tu connu le forum ? Par Faust :') Mais je suis admin, donc ;3

► Le code : Validé.